1828 veaux dopés devront être abattus

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Le peu de respect que la France voue aux animaux n'est pas à son honneur. Notre pays dérive de toutes parts et cela est dû en grande partie à certains individus qui sont dans notre gouvernement. Nous y reviendrons. Donc non contents de doper les sportifs pour qu'ils atteignent des performances maximales, on dope aussi les veaux. Et les dits veaux devront être abattus car non conforme à l'éthique de l'élevage. Il faut savoir qu'1,8 millions de veaux sont abattus sur notre territoire chaque année à cause de la malhonnêteté de certains éleveurs. Moi, je dis qu'on devrait leur faire subir la même chose qu'aux animaux qui par leur faute n'en sont plus réduits qu'à n'être des objets de commerce. Et voués à la mort lorsque le subterfuge se découvre, vous me direz qu'ils sont quand même destinés à l'abattoir mais n'empêche, nous qui adorons les bêtes et qui à cause de cela sommes devenus végétariens, ce sont des choses que nous supportons pas.

1.828 veaux dopés devront être abattus

 

La justice a ordonné a ordonné l'abattage de ces bêtes dopées aux anabolisants issus de 11 élevages du Sud-Ouest de la France.

La justice a ordonné a ordonné l'abattage de ces bêtes dopées aux anabolisants issus de 11 élevages du Sud-Ouest de la France.

ne juge d'instruction du pôle de Santé de Paris a ordonné jeudi 26 janvier l'abattage de 1.828 veaux dopés aux anabolisants issus de 11 élevages du Sud-Ouest de la France, a-t-on appris vendredi de sources judiciaires.
Les éleveurs ont fait appel de cette mesure qui n'est donc pas encore exécutoire, selon les mêmes sources.

Substances illicites

Dans le cadre de l'information judiciaire qu'elle dirige, la juge Anne-Marie Bellot a été destinataire d'un rapport d'expertise d'un laboratoire de Nantes qui a mis en évidence la présence de substances illicites dans l'organisme des bovins.
Selon l'expert, il s'agirait d'une hormone, le thiouracile, qui est déstiné à faire grossir les animaux plus vite. Ce produit est interdit par la Commission européenne.
Le 1er décembre dernier, la Brigade de recherche de Pau et l'Office central de la lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (OCLAESP) avaient interpellé douze personnes dans le Sud-Ouest. Quatre d'entre elles, dont un négociant de Lourdes, Pierre Dartout, ont été mises en examen pour avoir dopé le cheptel.

La Fédération nationale bovine (FNB) "soutient totalement" la décision de la juge d'instruction Anne-Marie Bellot, a indiqué le président de la fédération, Pierre Chevalier. Celui-ci s'est déclaré favorable à "l'abattage total de ces animaux". "C'est le prix à payer pour la sécurité alimentaire et sanitaire", a-t-il ajouté. Interrogé sur les trafiquants de substances anabolisantes ou activateurs de croissance, M. Chevalier a martelé: "ces gens-là sont des bandits passibles de la prison". "Il est inacceptable à un moment où la confiance est revenue dans la filière bovine que l'on soit confrontés à de tels comportements", a-t-il poursuivi.

1,8 millions de veaux abattus par an

Pierre Chevalier a fait part de l'intention de la FNB de se constituer partie civile dans l'instruction de Mme Bellot.
Selon un spécialiste de la fédération, le négociant en veaux mis en cause dans l'enquête, Pierre Dartout, dont 1.828 bêtes devraient être abattues, est "un petit intégrateur". L'intégrateur est un négociant qui achète des veaux pour les placer en nourrice chez des fermiers, avant de les revendre à l'abattoir. "Cela relativise les choses.
En effet il faut savoir que l'on abat en France 1,8 million de veaux par an", précise ce spécialiste.

Sources : LE NOUVEL OBSERVATEUR

Posté par Adriana Evangelizt

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