Nathalie Gettliffe, la Française qui aimait ses enfants

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Alors d'un côté, il y a celles qui tuent leurs enfants et que l'on emprisonne, ce qui est bien normal. Ces femmes-là, on ne peut pas dire qu'elles aimaient les bébés qu'elles ont assassinés. Et de l'autre, il y a des cas comme Nathalie Gettliffe qui adorent leurs enfants, ne s'entendent plus avec leur conjoint mais décident d'amener leurs enfants avec elles. Elles vont en prison aussi, sans doute parce qu'elles aiment trop leur progéniture. Quand on voit déjà la tête du mari, on a tout compris. Un de mes amis disait, "il a une tête de "con". Je serai davantage polie mais je n'en pense pas moins. Je l'ai vu à la télé lorsqu'a éclaté l'affaire, il pue l'arrogance et le mépris. On imagine ce que la pauvre jeune femme a du subir avec ce fanatique religieux embrigadée dans une secte chrétienne qui se nomme l'Eglise Internationale du Christ et dont vous trouverez un long dossier sur Prevensectes. Et plus particulièrement au chapitre "L'autorité absolue". "On se soumet à l'autorité , non parce que la personne avec l'autorité (le) mérite, mais parce que l'autorité vient de Dieu. En réalité, on se soumet ainsi a Dieu. La soumission signifie que l'on cède à un autre le pouvoir sur soi- même. La personne qui décide pour elle-même qui elle respectera n'a pas cédé par le pouvoir."  Sur le site de consacré à Nathalie, on apprend que le gentil mari la terrorisait et de surcroît qu'il entretenait des attitudes ambiguës avec leur fille, ce que Monsieur nomme un "inceste émotionnel"... voyez un peu le type de fada. N'empêche que c'est elle qui est en prison, et lui cherche à la faire enfermer comme malade mentale.  Comme ça, il aurait définitivement la garde des enfants, on s'en doute. Où est la justice là-dedans ? Pourquoi d'ailleurs Nathalie est-elle enfermée ? Parce que Monsieur doit connaître du  monde et que dans son pays, le Canada, il a su jouer des coudes, n'en doutons pas. Il a été jusqu'à mettre en oeuvre la Convention de la Haye pour obtenir le retour des enfants. Comme vous voyez, il n'a pas lésiné.  Que vont devenir les enfants avec cet illuminé qui possède des penchants autoritaires et pervers ? Et Nathalie ? Elle est enceinte et dans son état, elle serait mieux en Ardèche avec ceux qui l'aiment et ses enfants. Le doigt de Dieu est sur toi Nathalie et nous ferons tout ce qui est en notre "pouvoir" pour que tu sois bientôt libre... c'est une chose possible. Voilà ci-dessous la tête de la joyeuseté sectaire et autoritariste.


Première victoire juridique pour Nathalie Gettliffe

La Française Nathalie Gettliffe a remporté vendredi sa première victoire juridique depuis son incarcération en avril au Canada pour l'enlèvement de deux de ses enfants, une juge ayant refusé qu'elle soit soumise à un examen psychiatrique.

La juge Mervyn Koenigsberg de la Cour suprême de Colombie-Britannique a estimé qu'il n'y avait pas dans le cas de Mme Gettliffe de raisons justifiant une évaluation psychiatrique.

Une telle procédure lorsqu'elle est refusée par l'intéressé constitue "une profonde intrusion dans la vie privée d'une personne", a-t-elle fait valoir.

Le parquet avait demandé qu'une évaluation psychiatrique soit incluse dans le rapport qui servira de base au juge pour prononcer, dans les prochaines semaines, la sentence de la jeune femme qui avait plaidé coupable vendredi dernier.

Mme Gettliffe était opposée à cette requête et c'est la première décision en sa faveur depuis son incarcération et depuis qu'elle a fui le Canada en 2001 avec les deux enfants de son mariage avec le Canadien Scott Grant.

Des tribunaux canadiens et français avaient ordonné le retour des enfants au Canada et, depuis son incarcération, Mme Gettliffe s'est vu refuser à deux reprises ses demandes de remise en liberté conditionnelle, pour des raisons qui n'ont pas été rendues publiques.

Soulignant que des évaluations psychiatriques ne sont utiles que s'il y a de bonnes raisons de craindre une récidive ou dans le cas d'un comportement bizarre devant la cour, Mme Koenigsberg a jugé que "dans le cas de Mme Gettliffe, il n'y a pas d'indications de ce genre".

Mme Gettliffe ignore cependant toujours quand sera prononcée sa sentence. Le tribunal n'a pas encore fixé de date pour l'audition au cours de laquelle l'accusation et la défense présenteront aux juges leurs arguments sur la peine devant être infligée à Mme Gettliffe. La fin novembre ou le début décembre ont toutefois été évoqués.

"Nous respectons la décision du juge et nous allons maintenant passer à la phase consistant à déterminer la sentence", a déclaré Geoffrey Gaul, porte-parole du ministère public.

Lors d'une audition jeudi, l'avocat de Mme Gettliffe, Me Richard Fowler, avait plaidé contre un examen psychiatrique, faisant notamment valoir qu'accuser son ex-mari d'appartenir à une secte n'était pas un signe de désordre mental. C'était un des arguments invoqués par l'accusation.

Interrogé par l'AFP, Me Fowler s'était aussi élevé contre le fait que l'ex-mari de Mme Gettliffe, le Canadien Scott Grant, ait fait en public des déclarations mettant en doute la santé mentale de cette dernière. M. Grant avait notamment ironisé sur une éventuelle candidature de Mme Gettliffe à la présidence de la République française, annoncée par ses proches.

Agée de 35 ans, Nathalie Gettliffe est en prison depuis le 11 avril au Canada. Elle avait expliqué sa fuite en 2001 en disant avoir voulu soustraire ses enfants à l'influence de l'Eglise internationale du Christ, à laquelle appartient Scott Grant. Celle-ci est considérée comme un mouvement sectaire par un rapport parlementaire français, mais elle est légale au Canada.

Les deux enfants de son mariage avec Scott Grant, qui sont âgés de 11 et 12 ans, ont été remis à leur père par la justice française en juillet dernier et vivent actuellement avec lui.

Une audition au civil portant sur les droits de garde et de visite a eu lieu mercredi dernier. Une décision sur ce volet de l'affaire devrait être annoncée mardi à Vancouver.

Jason Gratl, président de l'Association pour les libertés civiles de Colombie-Britannique, a pour sa part applaudi la décision de la juge Koenigsberg, et critiqué la demande présentée par l'accusation.

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans VERITE

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La serial kidnappeuse Nathalie Gettliffe aime tellement ses enfants que la justice française a préféré placer tous ses derniers enfants depuis 6 ans.<br /> Depuis, Nathalie Gettliffe tente de couper ses enfants des pères en utilisant tous les moyens, y compris les dénonciations criminelles calomnieuses envoyées sur papier à en tête de l'université de Strasbourg.<br /> La suite est éloquente.<br /> Dans un courrier mailé, la présidence de l'université de Strasbourg indique ce 11 septembre 2020, par la voix de Mme Elisabeth Demont, Vice-Présidente Ressources humaines et politique sociale de l'Unistra, qu'elle "prend attache avec l'autorité judiciaire", suite aux nouveaux dérapages de la Maître de conférence franco canadienne Nathalie GETTLIFFE, qui avait été condamnée à 16 mois de prison ferme, en 2006, au Canada pour enlèvements d'enfants. (Courrier de la présidence de l'université ci-dessous).<br /> <br /> En 2018, La même Nathalie Gettliffe avait été convoquée devant le conseil de discipline de l'université de Strasbourg, suite, déjà, à l'utilisation des logos et du papier à en tête de l'université pour des dénonciations calomnieuses, et l'utilisation de titres imaginaires.<br /> <br /> Le décès, ce jour, de l'ex président du Sénat Christian Poncelet nous rappelle un épisode "croustillant" des dérapages verbaux et imaginaires de Nathalie Gettliffe. En 2007, Nathalie Gettliffe avait affirmé aux médias "qu'elle avait été libérée des prisons canadiennes, suite à un troc réalisé par Christian Poncelet qui avait échangé sa libération contre l'accueil d'une entreprise canadienne dans les Vosges, en accordant gratuitement à l'entreprise canadienne des terrains viabilisés appartenant au conseil général des Vosges". Le président du Sénat avait alors assigné Nathalie Gettliffe en justice.<br /> <br /> https://www.20minutes.fr/monde/183789-20070926-rapatriement-nathalie-gettliffe-contre-entreprise-canadienne-france<br /> <br /> https://www.ccmm.asso.fr/615-la-liberation-de-nathalie-gettliffe-objet-d-un-troc-poncelet-dement/<br /> <br /> https://affairesetproces.blogspot.com/2011/06/affaire-gettliffe-poncelet-deboute.html<br /> <br /> Je vous assure de mes sentiments dévoués et respectueux.<br /> <br /> Francis GRUZELLE<br /> Carte de Presse 55411<br /> 37, Bernaudin le Haut<br /> 07100 ANNONAY<br /> <br /> Tél. 09 64 01 14 68<br /> 04 75 34 38 79<br /> <br /> <br /> <br /> ---------- mail transféré ----------<br /> Envoyé: vendredi 11 Septembre 2020 14:00<br /> De : president@unistra.fr<br /> A : francis.gruzelle@laposte.net<br /> Objet : RE: Très signalé : une nouvelle fois votre maître de conférence FRANCO-CANADIENNE Nathalie Gettliffe a utilisé les logos et le papier à en tête de l'université de Strasbourg pour proférer à mon encontre des accusations calomnieuses de viol, ces dernières<br /> <br /> Monsieur,<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Je vous remercie pour les éléments portés à notre connaissance.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> L’Université de Strasbourg va prendre l’attache de l’autorité judiciaire. Si les éléments en question étaient attestés, elle mettra en œuvre les mesures qu’elle jugera opportune.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Toutefois, les relations entretenues entre l’Université de Strasbourg et ses personnels, notamment enseignants-chercheurs, se limitent aux strictes questions relevant du droit de la fonction publique. L’Université n’a pas à intervenir dans un litige privé.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Veuillez agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Elisabeth Demont<br /> <br /> <br /> Vice-Présidente Ressources humaines et politique sociale
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