Société Générale : L'administrateur qui a vendu ses actions est un proche de Bush

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Justement nous disions ce matin, qu'il fallait enquêter sur le fameux type qui a vendu toutes ses actions de la Société Générale... et ô surprise, qu'apprend-on ? Que Robert A. Day est de nationalité américaine et que c'est un proche de Bush... nous supposons que Sarkozy est au courant de ce fait ??? On ne peut s'empêcher de trouver suspect que l'homme a vendu les actions au moment même où Kerviel était sur le point de se faire repérer. Il y a là une volonté délibérée de faire couler la Société Générale...

Voir aussi Le présumé Initié est l'un des financiers de George W. Bush

Mais qui est Robert Addison Day ?

 



Comme l'a révélé l'Autorité des Marchés financiers, Robert Day, administrateur de la Société générale, a vendu pour 85 millions d'euros d'actions Soc Générale le 9 janvier, puis 10 millions d'euros le 10 janvier, puis 40 millions d'euros le 18 janvier, soit très exactement pendant les jours précédant l'effondrement des cours. Bien que la banque le démente, le soupçon de délit d'initié est donc extrêmement fort. Les medias ont relayé cette information. Mais ils restent en revanche muets sur un aspect très intéressant : qui est Robert A. Day ? Selon le site de l'Union Populaire Républicaine que préside le Conseiller de Paris François Asselineau, il suffit de chercher sur internet. On y découvre que Robert Day, de nationalité américaine, est un multimilliardaire très proche de George W. Bush et l'un des principaux financiers de ses deux campagnes présidentielles. En remerciement, le même président Bush l'a nommé en 2001 dans le sein des seins des services de renseignements américains : le "Presidential Intelligence Advisory Board" de la Maison Blanche? Robert Day est en outre membre de plusieurs lobbys euro-atlantistes, tels le CSIS ou la Brookings Institution, qui militent ardemment pour la "Constitution européenne" recyclée dans le traité de Lisbonne, et qui sont par ailleurs fortement soupçonnés d'être des couvertures de la CIA. Et le site de l'UPR de conclure qu'une fois de plus, les journalistes français ne font pas vraiment  "leur métier, qui est d'informer le public en menant quand même quelques investigations". Encore faut-il en effet savoir se servir de Google...
Posté par Adriana Evangelizt
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