LES EXTRÊMISTES SIONISTES ATTAQUENT LES CAMPUS
Les groupes extrêmistes sionistes font même la loi dans les campus universitaires. La France n'est donc pas libre de penser ce qu'elle veut et de défendre qui elle veut, le Peuple Palestinien opprimé en l'occurence...
Attaques sur les Campus
Il existe un sol fertile sur lequel se répand la puanteur des groupes d’extrême-droite ouvertement élitistes et racistes. Depuis plus de deux ans ce sont des commandos fascistes se réclamant du « Grand Israël » qui multiplient les descentes sur les campus (Sorbonne, Jussieu, Nanterre) contre les étudiants d’origine arabe et les démocrates anti-colonialistes. Ces lyncheurs sont impunis y compris lorsqu’ils sont identifiés ou, plus rarement interpellés.
Les institutions juives officielles (style CRIF ou UEJF) les couvrent et s’en servent comme bras armé au nom de la lutte contre l’antisémitisme.
Sur les facs, les passages à tabac sont commandités par ces groupes plus « présentables » puis les ratonnades sont couvertes en accusant les « islamo-gauchistes » d’importer « l’Intifada ». Le tout en prenant bien soin de se démarquer des « extrémistes juifs » qui ont fait la sale besogne. C’est un tour de passe-passe grossier mais toujours usité.
Au même titre qu’il y a une lepénisation des esprits, il y une sharonisation des instances communautaires juives en France.
Ratonnade à Jussieu
Aux cris de « sales Arabes on va vous crever » , « on va vous B… comme on B… les Palestiniens » ; à l’aide de chaises, de barres de fer et de gel lacrymo les sionistes entamèrent leur « représailles ciblées ». Résultat : un traumatisme crânien et des contusions multiples. Aucun des agresseurs ne sera inquiété.
Témoignage des membres d'un collectif d'étudiants de Jussieu, agressés ce soir-là
« Nous livrons un témoignage des agressions perpétrées par des groupuscules sionistes (LDJ-BETAR bénéficiant d'une totale impunité) contre des membres pacifiques d'un collectif d'étudiants de Jussieu.
L’UEJF (Union des Étudiants Juifs de France) précisait dans les tracts qu'elle distribuait dans la fac " de ne pas importer le conflit proche oriental dans les universités" , en organisant cette pression communautaire avec le soutien de l'UNEF national ( et non UNEF Jussieu dont plusieurs militants étaient avec nous).
Les grands moyens furent employés, un camion podium, musique, sans oublier les BHL, Finkielkraut, Lang, Strauss-Khan et son épouse Anne Sinclair, Lellouche... venus chanter au nom de leur attachement aux valeurs de la République, leur soutien inconditionnel à un état colonial et raciste. Nous étions (environ une quarantaine) dans la fac, étudiant(e)s, militant(e)s et enseignants, de toutes sensibilités politiques, de toutes origines, pour assumer notre solidarité citoyenne à un peuple opprimé. La grille de la fac nous séparait de nos "amis" sionistes. Notre diversité nous renforça dans la légitimité de notre action, et dans l'universalité de nos principes.
Après quelques slogans, nos "con"citoyens réagirent avec cœur et civisme, en nous offrant des centaines d'œufs pourris et des canettes pleines sur nos têtes, qui ne réduirent en rien notre détermination.
Nous pensions que le fascisme était battu le Premier Mai dernier et que seul le FN était extrême.
Mais des dizaines de jeunes (hommes et femmes) sionistes et de moins jeunes, échangèrent avec nous, avec leur courtoisie "républicaine" légendaire, de :" sales bougnoules, sales ratons" au" on vous B.... comme on B.... les Palestiniens" ou encore" On va N..... et dégager tous les Arabes de France et de Palestine "...Le paroxysme de leurs éloges fut atteint dès lors que nous scandâmes le nom de José Bové. Un pamphlet fut improvisé : "Israël vaincra"", Bush vaincra"", Bové on va le crever..." avec des expressions physiques très évocatrices…
On décida de partir avant la fin de cette manif, avec des étudiants qui sortaient de cours. Ils le regrettèrent. Dés éléments du Betar et de la LDJ, sont repérés dans la fac ( et sont refoulés par des militants de la CNT). On décide de sortir par derrière, côté Institut du Monde Arabe, où des CRS en contrôlait la sortie. On voulait prendre le métro au plus vite... Mais des groupuscules (LDJ-BETAR) organisés étaient postés à des points stratégiques autour du campus (Jussieu devint la Mouqata'aa pendant une soirée !).
On tomba dans un guet-apens. On subit un premier assaut, à coups de gel lacrymo, de coups de barres de fer en nous insultant de "sales Arabes, on va vous crever" (ils avaient oubliés qu'il n'y avait pas que des Arabes parmi nous !). Nous vîmes des amis en sang.
Les CRS intervinrent et distribuèrent leurs "réflexions" à tous, sans faire de différence. On se défendit comme on pouvait. Certains d'entre nous purent se sauver. On se réfugia, tant bien que mal, mais en longeant le boulevard face à l'institut, un deuxième groupuscule nous attendait à la rue suivante. Des scooters armés de gel nous arrosaient. Des "représailles ciblées", nous attendait. Ces faschos prirent des chaises dans les restaurants avoisinants, et nous tapèrent avec, sans parler des coups de barres, des poings américains ( ou israéliens). On réussit à éviter un coup de couteau …
Le bilan est lourd : 3 hospitalisés, un traumatisme crânien (6 points de sutures), une minerve pendant une semaine, contusions multiples.
Nous nous en sortîmes tous avec des séquelles physiques et psychologiques. On apprit par la suite que des étudiants portant un keffieh furent agressés également , que des filles portant le foulard se firent cracher dessus...
Pourquoi le gouvernement français ne dissout-il pas ces groupuscules violents qui sont connus ? Même après avoir poignardé un commissaire, ils demeurent dans un statut d'impunité !
Des membres de l'UEJF soutenaient ces groupes. Ce ne furent pas comme le dit la presse des affrontements entre manifestants, mais une véritable ratonnade organisée "militairement" et dont le but était de "casser du bougnoule" et de casser toute forme de résistance politique.
De voir tant de haines et de violence dans leurs yeux met en lumière le vrai visage d'une idéologie raciste. »
Témoignage recueillit sur http://perso.wanadoo.fr/mivy/linfo/republique/ratonnade.htm
Sources : AGEN NANTERRE NET
La Sorbonne
Agression sauvage d’une assemblée d’étudiants
Amphithéâtre George Lefebvre. Le Collectif d'information contre la logique de guerre, et la Coordination inter-facs Palestine organisent une rencontre sur le thème « Proche-Orient, quelle paix, quelles perspectives ? » qui réunissait 250 personnes.
Un groupe d'une vingtaine de personnes vociférait menaces et insultes racistes et interrompait le débat. Puis le groupe a d'abord agressé physiquement un des participants à la porte de l'amphithéâtre, et a prémédité une autre agression physique en attendant les participants à l'extérieur de l'université, avec des barres de fer et des bombes lacrymogènes.
Ainsi un étudiant a été violemment frappé à plusieurs reprises au crâne, et transporté aux urgences de l'hôpital Cochin. La victime de l'agression est sortie de l'hôpital le 21 février, avec six points de suture à la tête et une fracture de l'annulaire.
Deux membres armés de ce groupe ont été arrêtés et conduits au commissariat du V° arrondissement (Maubert-Mutualité).Une plainte a été déposée. Elle est classée sans suite.
Sources : AGEN NANTERRE
Université de Nanterre :
Passage à tabac de Brahim B.
Bâtiment G et parking. Une table d’information sur la Palestine occupée et l’université de Bir-zeit insupporte à tel point les pseudos humanistes de l’UEJF qu’ils sont obligés de faire tomber les masques. Ils considèrent que le bâtiment G, où ils occupent un local de complaisance, est un territoire réservé.
Maxime Perez, responsable de l’UEJF Nanterre téléphone fébrilement à ses « amis » pour organiser une descente punitive sur la fac. Tout cela se fait devant de nombreux témoins dont le service de sécurité de la fac.
A 17h le commando est reçu par l’individu Perez avant qu’ils pourchassent le premier Arabe venu : il s’agît de Brahim B., un administratif de l’université qui sera sauvagement agressé en rejoignant sa voiture et qui connaîtra plusieurs semaines d’arrêt de travail.
Cette ratonnade sera vécue comme un choc sur tout le campus. Pourtant le premier responsable de cette ratonnade n’a jamais été inquiété par les responsables de l’université.
Cet individu s’est même vu gratifier d’un siège élu au conseil d’UFR de droit. Sur Nanterre, on refuse que la vérité éclate et que des mesures soient prises en prétextant là encore, le « risque d’antisémitisme » !
Si un des membres du commando a bien été interpellé, son procès n’aura lieu que l’année prochaine. Le sentiment d’impunité permet ainsi à l’UEJF Nanterre de faire monter les enchères.
Sources : AGEN NANTERRE
Posté par Adriana Evangelizt