Trois adolescentes soupçonnées d'avoir torturé et violé une camarade

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Où va-t-on ? En lisant cet article, c'est ce que l'on se demande ! Si les filles se mettent à violer les filles avec des cintres où va-t-on ? La seule question que l'on se pose vraiment est au sujet des parents. Qui sont ces monstres ? On devrait interdire d'avoir des enfants à ceux qui sont incapables de s'en occuper.

Trois adolescentes soupçonnées d'avoir torturé

 et violé une camarade

 

 

Trois jeunes filles âgées de 15 à 18 ans sont soupçonnées d'avoir torturé et violé une de leurs camarades à l'école Le-Nôtre pour adolescents en difficultés, à Sonchamp (Yvelines), a-t-on appris mercredi de source judiciaire, confirmant des informations du Parisien.

Les trois adolescentes, deux mineures et une majeure, ont été mises en examen vendredi au tribunal de grande instance de Versailles pour "violences aggravées et viol accompagné d'actes de barbarie" sur une jeune fille de 14 ans le jour de la rentrée le 4 septembre, a-t-on ajouté de même source.

La victime était arrivée depuis quelques jours dans ce centre de formation professionnelle, accueillant des adolescents placés par l'Aide sociale à l'Enfance pour les protéger de leurs parents après des maltraitances ou si ceux-ci sont jugés incapables de les élever, a-t-on ajouté de même source.

Contrairement à ce qu'avait indiqué une première source judiciaire, les trois tortionnaires présumées ont été placées en détention à la prison des femmes de Versailles vendredi soir, selon une autre source judiciaire.

La seule majeure a demandé une confrontation différée avec le juge des libertés et de la détention (JLD). La loi lui accorde un délai de quatre jours pour préparer sa défense. Sa situation devait être réexaminée mercredi matin devant le JLD.

Selon la même source, les trois adolescentes ont infligé à leur victime des claques, des coups, des brûlures de cigarette sur les mains et les jambes et lui ont ordonné de "se raser les jambes" avant de la violer avec un cintre.

Les trois adolescentes, qui n'avaient aucun antécédent judiciaire, ont reconnu les faits sans fournir de mobile précis. Toutes les quatre dormaient dans la même chambre et les trois auteures présumées de l'agression auraient reproché à la victime de faire grincer son lit. Mais "l'enquête n'a pas permis d'établir assurément cette origine (de l'affaire)", selon la même source judiciaire.

La même source a précisé que l'agression de l'élève avait été découverte lorsqu'un éducateur avait retrouvé sur un écran d'ordinateur un message laissé par la jeune victime qui expliquait les violences sans faire allusion directement au viol.

L'une des adolescentes mises en cause s'est parallèlement confiée à un éducateur, toujours selon cette source judiciaire.

La victime, accompagnée d'assistantes sociales, est ensuite venue déposer plainte le 7 septembre à la gendarmerie, où l'une des adolescentes mises en cause a avoué le viol, confirmé par une expertise médicale.

Les trois adolescentes "sont abattues et ont commencé à prendre la mesure de leur acte", selon la même source.

L'école Le-Nôtre, fondée au XIXe siècle et gérée par la Ville de Paris, accueille une soixantaine d'élèves par an, des adolescents placés par un juge au titre de la protection de l'enfance, et qui préparent des CAP d'horticulture ou de cuisine.

Sources : AFP

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans Crimes

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